Monochrome no Kiss (モノクロのキス, Monokuro no Kisu) est la chanson du générique de début de la Saison 1 . Elle a été réalisée par le groupe SID. Deux versions ont été effectuées : la première pour les épisodes 1 à 16, et la deuxième pour les épisodes 17 à 24.
Vidéos[]
Générique de début Saison 1[]
Version Longue[]
Paroles[]
Générique - Version 1[]
Kanji[]
出会いに色はなくて モノクロ 吹き抜ける
痛みごと 君 委ねましょう
涼しい指 手招くままに
溶けた後のやっかいな 氷みたいな私を
優しくすくって 上唇で遊ぶ
それでもひとつの愛の形を探す
その願いは 夜は 虚しく 朝を連れて
優しくて 熱くて 卑怯なキスで
彩ってよ 最後の夜 月が照らしてる
Romaji[]
deai ni iro wa nakute
monokuro fukinukeru
suzushii yubi temaneku mama ni
toketa ato no yakkai na koori mitai na watashi wo
yasashiku sukutte
uwakuchibiru de asobu
sore demo hito no ai no katachi wo sagasu
tooku yori mo ima wo musunda kareta hitomi wo
dekireba kono mama tsutsumarete owaritai
sono negai wa yoru wa munashiku asa wo tsurete kuru
yasashikute atsukute hikyou na kisu de
irodotte yo saigo no yoru tsuki ga terashiteru
Traduction française[]
Tels le noir et le blanc
Evoquant notre rencontre sans couleur
Un doigt froid me fait signe
Je suis un morceau de glace rebelle
Flottant sur de l'eau fondue
Que tu déposes doucement sur tes lèvres
Avant de jouer avec
Quoi qu'il arrive je continuerai
A chercher le véritable amour
Tes yeux secs sont allés assez loin maintenant
Si je pouvais je t'envelopperai
Autour de moi et ce serait tout
Les nuits passent et mon rêve ne se réalise toujours pas
Mais demain est un autre jour
Avec ce doux, chaleureux et néfaste baiser
Emplit moi de couleurs comme si c'était la dernière fois
Et la lune nous éclairera.
Générique - Version 2[]
Kanji[]
あれから幾らか 夜 好きにもなりました
依存の海 息も忘れて
夢中のその手前で 生温さだけを残して
引き際の美学 得意げなキス 嫌う
一人にしないで もう察して 彩めて
どの言葉も 君の部屋では すり抜けていくの
できればこのまま 包まれて終わりたい
その願いは 夜は 虚しく 朝を連れてくる
優しくて 熱くて 卑怯なキスで
彩ってよ 最後の夜 月が照らしてる
Romaji[]
ara kara ikura ka yoru suki ni mo narimashita
izon no umi iki mo wasurete
muchuu no sono temae de namanuru sa dake wo nokoshite
hikigiwa no bigaku tokuige na kissu kirau
hitori ni shinai de mou sasshite aya-mete
dono kotoba mo kimi no heya de wa surinukete iku no
dekireba kono mama tsutsumarete owaritai
sono negai wa yoru wa munashiku asa wo tsurete kuru
yasashikute atsukute hiyou na kissu de
irodotte yo saigo no yoru tsuki ga terashiteru
Traduction française[]
Depuis, combien de nuits ai-je pu aimer ?
Dans cet océan de dépendance, j'oublie de respirer.
Je suis captivé par ta personne qui ne laisse que tiédeur derrière elle.
Tu as l'art de choisir quand te retirer, et je hais ton orgueilleux baiser.
Ne me laisse pas seul, discerne-moi et embellis-moi.
Quels mots se glisseront de ta chambre ?
Si possible, j'aimerais en finir ainsi, enveloppé.
Selon ton souhait, la nuit amène la matin en vain.
De ton baiser tendre, brûlant et fourbe,
Imprègne de couleurs cette dernière nuit éclairée par la lune.
Version Longue[]
Kanji[]
(à venir...)
Romaji[]
Deai ni iro wa nakute monokuro fukinukeru
Itamigoto kimi yudanemashou
Kizuato tsuyoku nazoru yousha nai aki ga kite
Suzushii yubi temaneku mama ni
Toketa ato no yakkai na koori mitai na watashi wo
Yasashiku sukutte uwakuchibiru de asobu
Sore de mo hitotsu no ai no katachi wo sagasu
Tooku yori mo ima wa musunda kareta hitomi wa
Dekireba kono mama tsutsmarete owaritai
Futari de himeta awai hada tsuki mo kakureteru
Are kara ikura ka yoru suki ni mo narimashita
Izon no umi iki mo wasurete
Muchuu no sono temae de namanurusa dake wo nokoshite
Hikigiwa no bigaku tokuige na Kisu kirau
Hitori ni shinaide mou sasshite ayamete
Dono kotoba mo kimi no heya de wa surinukete iku no
Midarete nemutte sore ijou wo oshiete?
Egao no toi ni mayou toiki dake ga miteru
Tsugi no nagai hari ga tenjou ni todoku koro ni wa
Kimi wa mou inai watashi wa mou iranai
Sore de mo tashika ni ai no katachi wo sagashita
Tooku yuki mo ima wo musunda nureta hitomi wa
Dekireba kono mama tsutsumarete owaritai
Sono negai wa yoru wa munashiku asa wo tsurete kuru
Yasashikute atsukute hikyou na Kisu de
Irodotte yo saigo no yoru tsuki ga terashiteru
Traduction française[]
La monochromie souffle au travers de notre rencontre incolore.
Je te confierai chacune de mes douleurs.
L'automne implacable, qui trace vigoureusement mes cicatrices, arrive,
Tandis que tes doigts calmes me font signe.
Je suis pénible après avoir fondu comme la glace.
Tu me ramasses tendrement et tu joues de tes lèvres avec moi.
Pourtant, je cherche une forme d'amour unique.
Mes yeux secs l'ont rattaché au présent plutôt qu'à un temps éloigné.
Si je peux, je veux finir enveloppé d'un linceul.
Ensemble, nous avons caché notre propre pâleur, la lune se cache aussi.
Depuis, j'en suis même venu à aimer quelque peu la nuit.
Dans une mer de dépendance, j'en oublie même de respirer.
Comme dans un rêve, tu as seulement laissé une chaleur tiède derrière toi.
Dans l'art de savoir partir, je déteste tes baisers prétentieux.
Ne me laisse pas seul, prends ma nuance et colore-moi à nouvau.
Peu importe ce que sont tes mots, ils sortent furtivement de ta chambre.
Être confus, s'endormir - Dis-moi qu'il y a plus que ça ?
Les soupirs se perdent dans la question du sourire. Seule la lune regarde.
Quand la prochaine longue aiguille pointera vers le plafond,
Tu ne seras plus là, je n'aurai plus besoin de toi.
Pourtant, je cherche définitivement une forme d'amour.
Mes yeux en larmes l'ont rattaché au présent plutôt qu'à un temps éloigné.
Si je peux, je veux finir enveloppé d'un linceul.
Dans tes souhaits, la nuit apporte le matin toujours en vain.
Avec un baiser tendre, passionné mais aussi lâche...
Colore-le, la lune illumine notre dernière nuit.